Loin des cités bruyantes,elle garde son charme discret,très verdoyant et écologique,à quelques envergure du centre parisien.
Du Centre ville,vous pouvez effectué des randonnées en Forêt de Verrières.
Surtout aux differentes époques ,en particulier en automne avec des couleurs très vives, et au printemps la végétation se réveille de couleurs très douces.
Vu de loin le Pic de Bugarach se présente comme un immense rocher avec une volumétrie différente par apport au cône de vision. Nous nous sommes garés au parking du col de Linas après avoir traversé le village perché dans la vallée. Le parcours en pleine forêt des noisettes d’abord et dans le buis a un odeur de fraîcheur de fragrances mélangées pour un dénivelé important. Ça grimpe tout le temps et pour descend il faut bien compter sur ses appuis.
Compte ténu le nombre des personnes à faire le parcours, environ 50, il y a toujours un inconnu qui se permet des donner des conseils, faites ceci, allez par la, ne vous reposez pas etc. Bref un peu démotivant. Nous ne sommes pas arrivés au sommet mas nous avons bien le courage de faire une pause dans le premier Plato. Je me suis régalé malgré la difficulté assez difficile quand même.
Très beau sentier au coeur de la nature avec des passages atypique, mais un peu déçu par rapport à la notoriété de celui ci.
Il y a quelques passages techniques mais le sentier reste très abordable si l'on a l'habitude de marcher.
Nous avons mis 5h00 avec une pause d'une heure. Nous avons pris le taxis le matin depuis le parking samson au rougon (8€ la journée) pour nous emmener directement au chalet de la maline, comme ça pas de pression pendant la randonnée, nous avions tout le temps d'arriver directement à notre voiture.
Boucle réalisée en 9h00 (comprenant la pause pique-nique, baignade et arrêt pour les photos) depuis le chalet de la maline puis le sentier de l'imbut en passant par la passerelle de l'estellier, en faisant l'aller-retour jusqu'à la plage du baou béni en revenant ensuite au niveau du sentier vidal jusqu'à l'auberge des cavaliers (de l'autre côté de la falaise qu'on peut observer depuis la maline), de là redescendre à nouveau jusqu'à la passerelle et en remontant jusqu'au point de départ.
Prévoir eau en suffisance (3L minimum) sans enfants pour ce tracé car très physique. Possibilité de s'y baigner lorsque il n'y a pas les lâchers d'eau (mardi et vendredi) de façon à ce que le courant ne soit pas trop fort par endroits.
Pour le reste, c'était Sublime et le mot est faible !